lundi 13 janvier 2020

Jean-Marie, le retour!

Bonne Année 20/20 , 

Pour mon retour, il fallait faire le tour du boulevard des Impressionnistes pour se retrouver au point de départ!... 

Il y avait Serge qui venait de sa Montagne en bord de Loire, et qui dessinait debout, comme certains jouent du piano ; on a parlé de la corde 3;4;5 pour faire des angles droits depuis Pythagore, et monter des murs. 
Et on a parlé de son prix-croquis à Clisson - Montmartre 19. Je ne savais même pas... (Je fréquente du beau monde!... ). 
Il y avait Patrick et son crayon pastel, mais pas Yves, ni leur kayak pour eux deux. 
Il y avait Rachel ( d’ origine familiale italienne ?) qui avait quitté son chantier d’ intérieur, 
Il y avait Philippe, assis. 
Il y avait Artmelle que l’ on aime ( injonction !) , revenue de Grèce, avec son grand cahier d’ artiste, 
Il n’y avait pas sa copine, la jeune Caroline ...
Il n’ y avait pas Maryvonne de l’ embouchure de la Sèvre. 
Il n’y avait pas Claudette , ni prénom perdu, ni Marie-C. 
Ni Guy aussi d’ ailleurs. 
... 
J’ avais dit qu’ en 20 je viendrai ! Sans s , donc il fallait. 
Arrivé trop en retard, tant pis : j’ ai discuté de l’ une à l’ autre. 
Avec les impressionnistes de la troisième décennie du troisième millénaire, et de Nantes Sud ! 
.... 
C ´ était une petite place de village en bordure de Sèvre. 
Entre grèves-et-annonces-attendues ...
Après les gilets jaunes. 
 ( je n’en veux plus ; je cherche des gilets oranges ! ...) 
Le temps était presque estival... 
" Comme tu ne sais pas trop, comme tu es très en retard, ... discute, regarde ! ... ” . 
( Là c’ est moi à moi ...) 
.... 
Le temps passa vite.  Je n’ ai pas enlevé mon siège du porte bagages arrière. C’ était pourtant la première fois, malgré ma précipitation pour n’ être pas trop en retard, que mon siège ( d’ artiste! ) était bien installé. .... Tellement bien qu’il ne bougea pas de la ´ sortie dessin ´ . 
... 
Puis Fany arriva : très en retard, en vélo, en portable, en voiture, du nord-Loire! Et avec une sacrée volonté ( propre aux Fany ? !) . 
Donc il y eut aussi Fany ... 
.,,, 


Il y avait un arbre taillé comme un mur. Un ballon qui était arrivé au haut de ce muret végétal . Un jeune qui était allé sur ce muret,  mais n’ osait descendre ( et la maman qui avait peur...) .  
Et tout se passa bien... 

... 
Puis le grand chef Benoît est descendu de ses falaises ( au sens propre !)  pour voir un peu le groupe du samedi ( celui de ´ ceux-pas-encore-en-retraite ´ ..) 
Puis un animal noir, appelé chien, courut à toute allure et à toute voix ( appelée aboiements ) derrière un autre animal noir , appelé chat. 
Il y avait un arbre genre pin . Et l’ animal appelé chat savait - par ses gènes - que là serait peut-être son salut. 
Le chien avait perdu. Il savait qu’il ne pouvait attendre : le chat serait plus patient ! ... 
...  
Après cet entraînement le chien partit : « je vais m’ amuser ailleurs !... ». 
Et le chat noir -  ça devait être un tout jeune ! - ne savait trouver la sortie de l’ arbre . 
 Une sortie d’ un arbre ! ? 
On le guidait tous, tous les DessiNantes qui prenions le thé de Patrick. Avec le groupe, avec les nouveaux ( c-à-d les enfants de la dame qui avait aidé son fils à descendre de la haie taillée , enfants qui avaient tous dessiné : footballeurs ou pas, filles et garçons ). 

   Si bien guidé, et même aidé, le chat noir trouva la sortie. ´ Vite que je trouve maman pour que je lui raconte comment c’ est la vie avec ses dangers. Et comment des animaux verticaux m’ ont aidé à descendre. Vite, vite maman !... ´ 

 Et nous, les DessiNantes du samedi, de l’ espèce la plus intelligente de cette boule appelée Terre, située à 8 minutes-lumière de son astre appelé Soleil , avec un petit satellite appelé  Lune (pour les amoureux et les salades), 
Nous les DessiNantes du Samedi , nous avons regagné nos gîtes. 
    Avant 
                La 
               
                     Grande 
                         
                                Catastrophe

Jean-Marie

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